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mardi 8 juillet 2008

Clint Eastwood












"A boat beneath a sunny sky, lingering onward dreamily in an evening of July. Children three that nestle near, eager eye and willing ear, pleased a simple tale to hear. Long has paled that sunny sky : echoes fade and memories die. Autumn frosts have slain July. Still she haunts me, phantomwise, Alice moving under skies never seen by waking eyes. Children yet, the tale to hear, eager eye and willing ear, lovingly shall nestle near. In a Wonderland they lie, dreaming as the days go by, dreaming as the summers die : ever drifting down the stream, lingering in the golden gleam... Life, what is it but a dream* ?"














* La question
n'appelle pas
de réponse













mardi 10 juin 2008

The ring






I
- Kool Shen fait d.u.r.e.r.

II - I love your golden b.l.u.e.

III - Entrez dans la d.a.n.s.e., voyez comme on d.a.n.s.e...








vendredi 16 mai 2008

Black tie white noise







Armé.
Apprêté.
Paré.
Singulier.
Le jour.
Pour lui
mais Le Japon, c'est pour toi :








samedi 3 mai 2008

Music for our Mother Ocean [casquer un scenario d'a.n.t.i.c.i.p.a.t.i.o.n.]









Jean-François Richet & Richard Dell'Isola,
à la production




I - Conseil d'administration :
* Mise en m.i.n.o.r.i.t.é. de Bigelow, démissionné - à céder la place à Murdock.
* L'Agent - à se ménager un marché pour lui tout seul [quelle ne fut pas la surprise de ses deux coreligionnaires lorsqu'il réussit à faire voter une délibération le plaçant en réserve de la R.é.p.u.b.l.i.q.u.e. - à pantoufler...]
* N'importe comment, p
our l'heure : les poumons - confiés à l'E.m.p.i.r.e.

II - "People are like seasons" - alors :
* Un é.t.é. à Falkirk passé à lire Alexander Pope
* Un h.i.v.e.r. en Espagne - à écouter Marissa Nadler.
* Au p.r.i.n.t.e.m.p.s., le prix du danger - premier rôle.
* A l'a.u.t.o.m.n.e. -
cette statue, cette sirène : on verra a.p.r.è.s.

III - Joseph Laniel ou Nagy-Bogsa - même combat :
* "
En voilà un qui ne trompe pas son monde ! [...] On discerne du premier coup d'oeil ce qu'il incarne : il y a du lingot dans cet homme-là !"
* Initialiser un p.r.o.g.r.a.m.m.e., baptisé I.c.a.r.e., verrouillé à même le code génétique de Golgoth 2007
* "
Rira b.i.e.n. qui rira le d.e.r.n.i.e.r..."


IV - Le Tour de France :
* A commencer par le G.e.r.s. : en résidence, une année durant
* Avant d'aller, heureux, migrer en G.i.r.o.n.d.e.
* Pendant ce temps-là, "Alfred trouve que sa vie est devenue trop ennuyeuse. L'Inspecteur Yverson ouvre une enquête..."

V - Chanel N ° IX :
* Yves Klein
* Couvert d'or
* Par une é.t.e.r.n.e.l.l.e. jeunesse.


VI - Jessie Mae Renfro : son n.o.m. d.e. D.i.e.u. d.e. Défi...





Six é.p.a.n.c.h.e.m.e.n.t.s. qui,
après t.r.a.n.s.c.r.i.p.t.i.o.n. & c.o.m.p.r.e.s.s.i.o.n.,
donnent à peu près ça :








dimanche 6 avril 2008

Des c.h.i.f.f.r.e.s. & des l.e.t.t.r.e.s.







"Vous pouvez tout raconter ;
mais à condition de ne jamais dire :
Je"

Marcel Proust*
14 mai 1921





I - Travailler le f.e.r. : apprendre le g.o.l.f. plutôt que le c.r.a.p.s. - pour en f.i.n.i.r. avec la mésalliance de la Maison de C.o.n.d.é.

II
- Manger davantage de chocolat. Manger d.a.v.a.n.t.a.g.e. de chocolat.

III
- Avant - tirer le Diable p.a.r.l.a.q.u.e.u.e. Aujourd'hui - Deux fenêtres : rien de p.l.u.s. - rien de m.o.i.n.s. N'importe comment : Philippe Messmer guest star - avant qu'il ne soit t.r.o.p.t.a.r.d.

IV
- Quitter l'E.c.o.s.s.e. Se barrer au D.a.n.e.m.a.r.k.

V
- Une pièce f.é.t.i.c.h.e. : Pile - Christophe, Face : Arthur.

VI
- Un v.i.e.u.x. projet - regarder à.c.ô.t.é. suffisamment longtemps
[l'expérience aidant : Mylène le sait] pour dépasser une majorité des 3/5 .

VII
- Avoir les mains pleines de ses cheveux.

VIII
- Une fois les charriots é.t.e.i.n.t.s. - faire savoir à Hervé Morin qu'il existe une soldatesque [hum hum] capable de f.i.l.e.r.u.n.e.d.a.n.s.e. à son agence de top model.

IX - C'est n'importe quoi. la question ne se pose pas. La réponse est non. Mais - toujours d.e.v.i.s.e.r. avec Ernest & pour plus de r.é.a.l.i.s.m.e. - William.

X
- In vino veritas : C.u.i.s.i.n.e.r. < J.a.r.d.i.n.e.r.

XI - Le c.o.m.p.t.e. est b.o.n., alors - s'a.r.r.a.c.h.e.r.








* J.a.m.a.i.s. lu



dimanche 30 mars 2008

Postcard








"She comes - into my m.i.n.d. Twisting - thru my n.e.r.v.e.s. I don't understand a w.o.r.d. she says. She's on my s.i.d.e. I. l.o.v.e. h.e.r. a.l.l. t.h.e. t.i.m.e."
























mardi 25 mars 2008

March, the 27th & S.h.o.e.g.a.z.i.n.g.









"Et que ne durent que les moments doux. Et que ne durent que les moments d.o.u.x. Et que ne durent que les m.o.m.e.n.t.s. d.o.u.x. Et que ne durent que l.e.s. m.o.m.e.n.t.s. d.o.u.x. Et que ne durent q.u.e. l.e.s. m.o.m.e.n.t.s. d.o.u.x. Et que ne d.u.r.e.n.t. q.u.e. l.e.s. m.o.m.e.n.t.s. d.o.u.x. Et que n.e. d.u.r.e.n.t. q.u.e. l.e.s. m.o.m.e.n.t.s. d.o.u.x. Et q.u.e. n.e. d.u.r.e.n.t. q.u.e. l.e.s. m.o.m.e.n.t.s. d.o.u.x. E.t. q.u.e. n.e. d.u.r.e.n.t. q.u.e. l.e.s. m.o.m.e.n.t.s. d.o.u.x."











Mais...

Toutes les
bonnes choses ont une fin.

[Comprendre :]

T.o.u.t.e.s.l.e.s.b.o.n.n.e.s.c.h.o.s.e.s.o.n.t.u.n.e.f.i.n.

Quoique...

[Pas toujours]
Des fois, c'est fini
[Des yeux comme ça, par exemple]

Des fois, c'est reparti.
[Le
9 juillet]


"Sautez,

Dansez,
Embrassez
Qui vous voudrez" :





















lundi 3 mars 2008

Cédric Klapisch
















I - Un casque.

II - coiffant un fjörd.

III -
1996.



mercredi 27 février 2008

Q.u.a.d.r.a.t.u.r.e.







[
D.é.l.i.é.e.s. - la langue, les mains]







I - Se délocaliser. Autre t.e.m.p.s. a.u.t.r.e. lieu [l'impression que certains vont moins regarder Klapisch que mirer le nombril de leur ville, à l'opposé de gens du Nord opérant un mouvement plus chaleureux vers l'extérieur. Deux approches, une seule personnelle adhésion : divorce]. Gare, un canard. Le c.a.n.a.r.d. "Casse-toi alors, pauv' con". Détention de sûreté : pour Athéna protéger - garder les sceaux comme on attenterait à la s.a.n.i.t.é., Rachida, qu'elle fait...

II - Retour - Fo.u.r.c.h.e. caudine. Bagage. Pas de bagatelle. "On va nettoyer" : du Léon tout craché. Un portable en fin de vie. Rentrer le faire opérer. Quand même - un appel. Du Ministère. Du Commerce. La cause - e.n.t.e.n.d.u.e. Un appel. le 11è. Le cercle, concentrique - soudain, brûtal. D.a.n.g.e.r.e.u.x. : un goulot d'étranglement. Le 11è. Ne pas trop trainer les rues. Le Ministère. De la Défense. Deux de ses m.e.i.l.l.e.u.r.s. éléments, naguère r.e.d.o.u.t.a.b.l.e.s., aux trousses - pas loin. Si près d'eux, pas m.a.l.i.n. Après tout ce temps - à combien, m.o.r.t.o.u.v.i.f., la mise à prix. Juste - savoir si le betting est a.p.p.u.y.é...

III - 15è. Convention. Rendez-vous. Une inconnue. Les clés de la suite de l'histoire, écrite par Liane Foly. Une inconnue ?
In fine - même pas... Rire. R.i.r.e.s. [Ca n'arrête pas : ne plus s'étonner de rien - juste s'amuser de ce qui figure un quotidien lové sur lui-même à commencer de se recommencer, genre - "un jour sans fin"]. Il y avait c.o.m.b.i.e.n. de chances pour que cela a.r.r.i.v.e. ? Après c.a.l.c.u.l. - près de 13 annuités. Des lignes - qui se c.r.o.i.s.e.n.t. : les nornes - à la m.a.n.o.e.u.v.r.e. Ses amis - les m.i.e.n.s. [des nouvelles - à l'arrivée, à la réception : l'emporter haut la main, son étonnement - juste des amitiés qui ne sauraient se défaire : Semper fidelis - David Douglas Klein, 'In a manner of speaking". Une nouvelle vague qui prolonge l'antienne "plus ça change, plus c'est la même chose"].

IV - Bilan, tambour battant - 3 mois. Mi-parcours le souffle c.o.u.r.t. [une semi-défaite : ça faisait longtemps - poser le pied sur le ring, une pluie acide - des coups au corps. Les lumières - aveuglantes. Au sortir du sirop : une sorte de paix mutilée. Se charger - pas à la drogue, imbécile ! Se remonter à autre chose - et battre le record d'apnée. La revanche, pour le titre à décrocher. En attendant le délibéré, disons, de gens de Salon].

V - 11è. Putain de christ de p.s.e.u.d.o.n.y.m.e. Sans le savoir - une sorte d'auto-combustion. Jouer avec le feu. Se brûler. Peut-être, peut-être pas. Par sécurité - s'i.g.n.i.f.u.g.e.r. 11è. Rien à secouer des filles du calvaire, tourner le dos à Voltaire. Déposer le superflu comme le nécessaire [masse d'arme]. Retour. E.n.f.o.u.r.c.h.e.r. la rame - d.e.r.n.i.è.r.e. minute.

VI -
11è. "Je suis un boomerang, si on me lance fort et loin, je file en tournant sur moi-même et je reviens, aussi loin lançé quelque part, je reviens toujours à mon point de départ". Eleven. "Comme un boomerang qui se lance fort et loin, qui file en tournant sur lui-même et me revient, aussi loin lançé quelque part, il revient toujours au même point de départ". H.e.l.l.h.e.a.v.e.n... Comme la c.o.r.d.e. soutenant le p.e.n.d.u., ce pseudo [et ça, c'était pas prévu... Les 3 princes de Serendip, que ça a l'air de : Objectif Nul, syntax error, ou bien - ???] N'importe comment, Liane Foly abuse... V.i.o.l.e.m.m.e.n.t. Retour. Pause. Il sera temps d'y revenir. Il sera t.o.u.j.o.u.r.s. temps. A.u.t.r.e. temps autre l.i.e.u. Un lit à 200 kilomêtres d'ici. Un chat. Qui attend là-bas. Wonder woman, le meilleur de nous trois, et caetera... H.a.u.t.s. les coeurs :










[Et
n.a.g.e.r.,
aussi.
Faire
attention
à
la

p.l.o.n.g.é.e.
- e.n.c.o.r.e.]








samedi 9 février 2008

C.R.








I - Une d.é.c.o.u.v.e.r.t.e. Oh, André...


II - Claro que si - "
J.a.i.t.o.u.t.m.o.n.t.e.m.p.s."


III - "et alors ? alors ceux qui voudront refuser quand même le pourront alors ceux qui voudront crier quand même le pourront alors ceux qui voudront essayer quand même le pourront alors ceux qui voudront en finir quand même le pourront alors ceux qui voudront oublier quand même le pourront alors ceux qui voudront refuser quand même le pourront et après ?" Bah... Même pas moy' de c.o.n.t.i.n.u.e.r...





Et 70 pages - qui a.t.t.e.n.d.e.n.t...



mardi 15 janvier 2008

Unsane, "This town" [singles 1988-1992]





"Unsane were formed under the moniker Lawn-Chair-Blisters at Sarah Lawrence College in 1988. A demo was recorded at Wharton Tiers recording studio in early 1989. Two of the tracks ("This Town" and "Urge to Kill") were released by Treehouse Records in the fall of 1989. Unsane then (for some damn reason) signed with Circuit Records, who were supposed to release the Unsane's debut album Improvised Munitions. The album never came out. Ernie Triccaro, proprietor of Circuit, spent all the money on cocaine instead and still owes the band approximately $200. The band released another couple of 45's on Glitterhouse and Subpop and did small tours of the U.S. They soon found themselves being somewhat of a musicians' and critics' band, with Foetus and Lydia Lunch constantly trying to crawl up their collective butt and people from Spin giving the band write-ups in a desperate attempt to look hip. The fall of 1991 saw the Unsane's debut album simultaneously released in the U.S. and Europe. The original American album jacket Unsane for Tennis was withdrawn with only a handful ever to reach the market. The band decided to replace the original jacket artwork with something much less offensive and the Unsane's self-titled debut album hit the stores. A barrage of hyperlative international press was soon to follow, and the American college airwaves were soon smothered with the anthemic cross-over dance hit "Action Man." A limited-edition, semi-legit 7" compiled of some of the tracks from the aborted Circuit album was released by a relative of the band, and an additional PCP 7" split between the Unsane and Slug (featuring the bands covering each others songs), were released in 1992. The Minneapolis-based Women's-Lib-funded record label Amphetamine Reptile Records also released an Unsane track, "Broke" on the popular Douche, Sperm and Swinging in the Streets compilation series. The Unsane Singles 1989 - 1992 compiles all the out-of-print loose ends of the band's recorded output. Following the death of Charlie Ondras in June of 1992, the band recruited Vinnie Signorelli, previously of the Swans and the Foetus band, among others, as their new drummer."

Matador




I - A la croisée des chemins, elle se défend d'appeller les gens juste pour leur prendre la tête, il picore quelque chose comme de la viande de grison, sapé old school. Bon.


II - Rien à cirer de Carla mais violer t.u.s.a.i.s.q.u.i., la réponse est oui. Une logique toujours d'actualité, plus que jamais.



III - Une ville comme une station orbitale assez / assez, p.a.r.f.a.i.t.e.m.e.n.t. versatile, impossible à l.i.r.e., n.o.t.e.d.e.s.y.n.t.h.é.t.i.s.e.r., d.é.c.r.y.p.t.e.r. Le b.r.u.i.t. de ses artères qui donne envie de s'évader à la rencontre d'un jeu de maracas.


IV - Pas de livraison avant le 22 : va falloir tenir s.a.n.s.

V - Dormir est devenu h.o.r.s.d.e.p.r.i.x. Peut-être - Contracter un crédit revolving pour alimenter un compte épargne-temps auprès de Morphée, contrarié de tant de s.u.p.e.r.p.o.s.i.t.i.o.n.s., fondu-enchainés dans un courant alternatif conduit au b.a.r.b.e.l.é. aussi, le repose - c'est le soir du Grand j.a.m.a.i.s.



VI - N'importe comment : ne pas se laisser h.a.p.p.é. - la garder :
















mardi 11 décembre 2007

mercredi 14 novembre 2007

Psaume 22





[Chose rare - rapatrier un commentaire : "Entrez dans la d.a.n.s.e., V.o.y.e.z. comme on danse, Tournez, t.o.u.r.n.e.z., Embrassez qui vous voulez..." mais je me Les réserve]






1988 [la réponse est oui] : Même au très petit matin, à peine r.é.v.e.i.l.l.é. - elle en jette toujours... Quelque chose comme un morceau de gaze. Alors il est temps de trouver à s'y t.é.l.é.p.o.r.t.e.r. jusque, disons, février à moins que la place Vendôme ne vienne à me revendiquer aussi - autant relancer la découverte de Feu John Peel : "not here Albini version". Faire honneur à qui de droit en empochant les d.o.m.m.a.g.e.s. & i.n.t.é.r.ê.t.s. d'un contentieux remporté à l'u.s.u.r.e., à ce r.y.t.h.m.e. & à la d.u.r.e... Parait que les choses vont mieux en les d.i.s.a.n.t. alors a.l.l.o.n.s.y. Ce blog est en p.a.u.s.e. mais La course c.o.n.t.i.n.u.e. Et puisque ça fait longtemps qu'une ambassade é.c.o.s.s.a.i.s.e. n'a pas été accueillie ici...























mercredi 31 octobre 2007

J.o.y.r.i.d.e.r.






[Jouer
a.l.t.e.r.n.a.t.i.v.e.m.e.n.t.
de l'u.n.
et de l'a.u.t.r.e.
]







"J'appuie sur le starter.
Et voici que je quitte la terre
- j'
irai peut-être au P.a.r.a.d.i.s.
Mais dans un train d'
e.n.f.e.r."






Cette note est dédié aux membres du GIGN










samedi 22 septembre 2007

Gambit









I - Little Miss sunshine... C'est pas trop tôt.
II - Par l'entremise de Boby Lapointe - découvrir un instrument.
III - Un souvenir... La première rencontre avec Special K - un concert durant lequel il ne trouva rien de mieux à faire que [l.i.t.t.é.r.a.l.e.m.e.n.t.] s.u.r.f.e.r. sur la foule. Mais c'était il y a déjà si longtemps alors, au présent... La réponse est o.u.i.
IV - Organiser la rencontre, c.a.p.i.t.a.l.e., de Jean Féval et Ann Nocenti.

V
- Maurice chevalier, Resquiecat in pace : "dans la vie faut pas s'en faire. Moi je ne m'en fais pas".
VI - Le compte est bon - aussi est-il temps, sans doute, de c.h.a.n.g.e.r. d'pays :










dimanche 16 septembre 2007

Benjamin Franklin








Songer à une batterie le gulliver comme un marteau, pour en mieux tanner les peaux : mais principe de précaution oblige - prévoir une voiture-balai pour déblayer tout en lui préférant un piano car c'est sans danger - sinon celui d'étudier à outrance en croyant pêcher pour quelque chose de bel & bon ; sinon le danger à confondre recto & verso, toujours & jamais. N'importe comment, rien ne se perd, rien de s.e.c.r.e.t., tout se transforme alors se g.a.r.g.a.r.i.s.e.r. - a.u.t.a.n.t.q.u.e.p.o.s.s.i.b.l.e. Songer à une batterie tout en se rappelant Aristote : "la main est l'instrument des instruments". En même temps,











dimanche 2 septembre 2007

Frédo Roman









"... Like a bright light on the horizon,
Shining so bright,
He'll get you flying.

He'll drive you away.
He'll drive you insane.
But then he'll remove all of your pain..."




















samedi 18 août 2007

K.r.i.e.g.s.p.i.e.l.








"Le 4 avril, presque deux mois et demi après la disparition de Lee, Kay reçut une lettre sur papier à-en-tête officile du L.A.P.D.

3-4-1947.

Chère Mademoiselle Lake,

Nous tenons à porter à votre connaissance les faits suivants : Leland C. Blanchard a été rayé des cadres des services de police de Los Angeles en bonne et due forme pour raison de turpitude morale. Sa radiation prend effet au 15-3-47. Vous êtiez la bénéficiaire de son compte au Crédit municipal unifié de Los Angeles, et puisque M. Blanchard reste introuvable, nous considérons qu'ile st juste et équitable que le solde créditeur vous en soit adressé. Cordialement à vous.
Léonard V. Strock,
Sergent,
Division du Personnel.

On y avait joint un chèque de 14,11 dollars. Je piquai une crise de folie meurtrière et attaquai le dossier en lieu et place de mon nouvel ennemi - la b.u.r.e.a.u.c.r.a.t.i.e. qui me possédait. "


James Ellroy, Le Dahlia noir











vendredi 10 août 2007

Solar race r.e.l.o.a.d.e.d.






« Je roule comme Trintignant dans Un homme et une femme, pied au plancher, compteur bloqué à cent quatre-vingts, prenant tous les risques. Et même davantage, puisque je ne suis pas au rallye de Monte-Carlo, mais en plein Paris. À côté de moi, mon chef opérateur contrôle la vitesse de la caméra accrochée au pare-chocs. Nous brûlons systématiquement tous les feux rouges. Les rues et les avenues défilent à une vitesse terrifiante. A ce moment là, je me dis que les spectateurs seront collés à leurs fauteuils, écrasant du pied un frein imaginaire. Car c'est un film, bien sûr, que je tourne. Neuf minutes trente secondes. Neuf minutes trente secondes de pellicule, c'est ce qui me restait à la fin du tournage de Si c'était à refaire, au moment des rendus. Trouvant dommage de laisser perdre ces précieux trois cents mètres de pellicule, j'en ai profité pour réaliser un projet qui me tenait à cœur depuis longtemps : un film en un seul plan-séquence où la caméra traverserait Paris à grande vitesse, son regard étant celui d'un homme qui conduit comme un fou parce qu'il est en retard à un rendez-vous. J'avais eu cette idée un jour où, moi qui suis toujours ponctuel, j'étais dans la même situation. Comme il était vital que j'arrive à l'heure, j'ai traversé Paris à une vitesse hallucinante, brûlant des feux rouges, empruntant des sens interdits, prenant des risques insensés. Comme je suis en train de le faire en ce moment même. Cinq cent soixante-dix secondes, pas une de plus, c'est le temps que j'ai pour effectuer le trajet porte Dauphine-place du Tertre. Avec deux principaux problèmes techniques. Le premier consiste à coordonner le parcours de la voiture avec l'action des dix dernières secondes, quand Gunilla, ma compagne de l'époque (qui est aussi la mère de ma fille Sarah) s'avancera vers le véhicule qui s'arrêtera devant elle. C'est le bruit du moteur, à mon approche de la place du Tertre, qui l'avertira qu'il est temps de s'avancer jusque dans le champs de la caméra. Le second problème réside dans l'impossibilité d'assurer la sécurité de l'opération. J'ai limité les risques en tournant ce film cascade au mois d'août, à cinq heures trente du matin, au lever du jour. La circulation est donc quasiment inexistante. Je n'ai pu cependant obtenir l'autorisation de bloquer les rues débouchant sur mon parcours. Un véhicule peut donc déboîter devant moi à n'importe quel moment. Si cela se produit, je prie pour avoir le coup d'œil et les réflexes nécessaires pour réagir au quart de seconde. L'étape la plus dangereuse du parcours demeure le passage des guichets du louvre. Il n'y a aucune visibilité à la sortie. Si une voiture surgit à ce moment devant mon capot, la collision sera inévitable. J'ai donc posté mon assistant, Élie Chouraqui, à cet endroit stratégique. Grâce à son talkie-walkie, il me préviendra en cas de danger. J'arrive à la hauteur des guichets du Louvre. Aucun signal de la part de « Chouchou ». Je fonce. Le reste du parcours s'accomplit sans problème. Je ralentis place du Tertre, et Gunilla, avec un chronométrage parfait, s'avance à ma rencontre. Un quart d'heure plus tard, je retrouve Chouraqui, en train de bricoler son « talkie ».
Qu'est ce qui se passe ?
C'est cette saloperie ! me dit-il en désignant l'appareil. Il est tombé en panne au début de la prise !
J'ai un grand frisson d'angoisse rétrospectif.
Debout dans le bureau du préfet de police, j'ai la sensation d'être un enfant puni. Je m'apprête d'ailleurs à l'être et sévèrement. D'une voix de procureur, le préfet, qui m'a personnellement convoqué, dresse à mon intention la liste de toutes les infractions que j'ai commises pendant les quelques minutes de tournage de
Pour un rendez-vous. Elle est interminable. Quand il a fini, il lève sur moi un œil noir et dit en avançant la main :
Remettez-moi votre permis de conduire, s'il vous plait.

Le moment serait mal choisi pour discuter. Je m'exécute. Le préfet de police s'empare du document, le contemple rêveusement pendant quelques secondes, puis... me le rend avec un large sourire.

— Je m'étais engagé à vous le retirer, me dit-il. Mais je n'ai pas précisé pour combien de temps.
Devant ma stupéfaction, il ajoute
:

Mes enfants adorent votre petit film ! »



Claude Lelouch












dimanche 29 juillet 2007

Homère, Ethan, Joel & Marilyn







[Thésauriser le feu roulant des opportunités pour soutenir l'effort d'une guerre dont les augures, suivant le Grand Prêtre vaudou consulté, fixaient le terme à la fin de l'été. Un b.u.t.i.n. de candidatures à surveiller - comme le lait sur le feu - avant encaissement parce qu'il était temps de passer en formation hoplitique afin d'en superviser le recouvrement - mais a.u.p.a.r.a.v.a.n.t...]






I - Maximaliser chaque passage sur le grill, rester c.a.l.m.e., oublier de se tortiller sur la bien-nommée, même accommodé en sushis sur lit de wazabi par quelque satrape [avec, dans la main, l'éventualité de votre ressource humaine] soufflant moins le froid que le c.h.a.u.d. [jusqu'à tirer feu Celsius, Rankine, Réaumur, & Fahrenheit de leur éternité] sous prétexte d'attester qu'au niveau du niveau du taux de fusion, ça le fait, les nerfs d'acier.

II - Aussi : avoir toujours les yeux braqués, durant le j.e.u., sur les roulis d'un barillet [chargé sans discontinuité de potentialités de recrutement] parce que, quand même, la réponse est oui :
- On tourne en bourrique
- A presser la détente, quelque rouage expert de la matrice oscillant, dans la conduite des entretiens, entre souris/"je-vais-te-boulotter-la-vie" et c.h.a.t./"bientôt-nous-serons-pairs-mon-gars" : lui donner le la [n'importe la fatigue, l'insanité d'une ambiance très new-yorkaise ou le sommeil en arriéré d'impayés]
- Un parcours très steeple-chase, entrecoupé de plans-séquences d'ordalies avec leur cortège de q.u.e.s.t.i.o.n.s.-brûlots [à peine déguisées en inoffensifs ballons-sondes] en fondu-enchainé obligeant parfois à se retourner le cérèbre en tout sens pour accoucher, en dernier ressort, d'un bon mot attendu que le code général des collectivités territoriales ne proscrit pas l'esplièglerie pour se carapater d'un goulot d'étranglement
- De quoi devenir cinglé sous le joug de l'actualité [réussir un hold-up fonctionnel par méritocratie - sans verser dans le f.a.y.o.t.tage ni faire entrer dans la danse l'entregent que l'on s'est ménagé]

III - Pour autant, d'ores et déjà [à reléguer bientôt l'Enfer du Devoir au rang de simple croques-en-jambe, lorsque le cyclone aura été mis en déroute] - deux rayons de s.o.l.e.i.l. : Rouen et Le Havre - la possibilité d'agréger assez de persona pour y transposer une logique toute policière ["protéger et servir" des enfants] : un sacerdoce qui ne souffre aucune poulperie parce que de menues âmes dans le tourbillon de la vie, c'est pas des histoires à la n.o.i.x...

IV - Demain est un a.u.t.r.e. jour, caisse de résonnance d'une attente siamoise bien plus édifiante mais, jusqu'à l'heure de décrocher le convoité sésame : la garder par devers soi, cette i.d.é.e. [au surplus, à germer à l'indicatif présent : penser à l'inauguration du Ministère des Transports - la seule ambition parfaitement parfaite. Le reste ? Bah... "Est-ce que ce monde est sérieux", demandait Cabrel ? La réponse est oui. La réponse est non]

V - A l'arrivée :
- I.n.t.r.o.d.u.c.t.i.o.n. : Il faut être sur le ring et, tout en presqu'bouffant le protège-dents à force de les serrer - dévier les coups au corps, se protéger d'un KO technique et, bille en tête, avancer
- T.h.è.s.e. : définitivement, le travail, étymologiquement - une torture montée sur trépieds
- A.n.t.i.t.h.è.s.e. : Aussi aliénant puisse-t-il être - le travail affranchit [paradoxe bien timbré]
- S.y.n.t.h.è.s.e. : L'épreuve ? Une anti-chambre toute propédeutique - une affaire de résistance
- C.o.n.c.l.u.s.i.o.n.-ouverture : Si "une petite impatience ruine un grand projet", en contrepoint - "Tout vient à point à qui sait attendre".

VI - Epilogue : parce qu'il suffit de purifier ses mobiles d'action par une exacte balance entre p.o.u.r.q.u.o.i. et c.o.m.m.e.n.t. - la fin, heureuse, est déjà gravée - Ulysse en son Odyssée a bien supporté pire :



I am a man of constant sorrow,
I've seen trouble all my days.
I bid farewell to ole Kentucky,
The place where I was born and raised.

[The place where he was born and raised !]

For six long years,
I've been in trouble.
no pleasure here,
on earth I've found.

For in this world,
I'm bound to ramble,
I have no friends to help me out.

[He has no friends to help him out !]

It's fare thee well,
my old true lover,
I never expected to see you again.

For I'm bound to ride,
that Northern Railroad,
Perhaps I'll die upon this train.

[Perhaps he'll die upon this train !]

You can bury me in Sunny Valley,
For many years, there I may lay.
And you may learn to love another
while I am sleeping in my grave

[While he is sleeping in his grave !]

Maybe your friends think I'm just a stranger,
My face you never will see no more.
But, there is one promise that is given,
I'll meet you on God's golden shore.

[He'll meet you on God's golden shore]















[Quand même...
Putain de Christ,
mais c'était quoi,
son secret,
à
Lui ???]