dimanche 29 juillet 2007

Homère, Ethan, Joel & Marilyn







[Thésauriser le feu roulant des opportunités pour soutenir l'effort d'une guerre dont les augures, suivant le Grand Prêtre vaudou consulté, fixaient le terme à la fin de l'été. Un b.u.t.i.n. de candidatures à surveiller - comme le lait sur le feu - avant encaissement parce qu'il était temps de passer en formation hoplitique afin d'en superviser le recouvrement - mais a.u.p.a.r.a.v.a.n.t...]






I - Maximaliser chaque passage sur le grill, rester c.a.l.m.e., oublier de se tortiller sur la bien-nommée, même accommodé en sushis sur lit de wazabi par quelque satrape [avec, dans la main, l'éventualité de votre ressource humaine] soufflant moins le froid que le c.h.a.u.d. [jusqu'à tirer feu Celsius, Rankine, Réaumur, & Fahrenheit de leur éternité] sous prétexte d'attester qu'au niveau du niveau du taux de fusion, ça le fait, les nerfs d'acier.

II - Aussi : avoir toujours les yeux braqués, durant le j.e.u., sur les roulis d'un barillet [chargé sans discontinuité de potentialités de recrutement] parce que, quand même, la réponse est oui :
- On tourne en bourrique
- A presser la détente, quelque rouage expert de la matrice oscillant, dans la conduite des entretiens, entre souris/"je-vais-te-boulotter-la-vie" et c.h.a.t./"bientôt-nous-serons-pairs-mon-gars" : lui donner le la [n'importe la fatigue, l'insanité d'une ambiance très new-yorkaise ou le sommeil en arriéré d'impayés]
- Un parcours très steeple-chase, entrecoupé de plans-séquences d'ordalies avec leur cortège de q.u.e.s.t.i.o.n.s.-brûlots [à peine déguisées en inoffensifs ballons-sondes] en fondu-enchainé obligeant parfois à se retourner le cérèbre en tout sens pour accoucher, en dernier ressort, d'un bon mot attendu que le code général des collectivités territoriales ne proscrit pas l'esplièglerie pour se carapater d'un goulot d'étranglement
- De quoi devenir cinglé sous le joug de l'actualité [réussir un hold-up fonctionnel par méritocratie - sans verser dans le f.a.y.o.t.tage ni faire entrer dans la danse l'entregent que l'on s'est ménagé]

III - Pour autant, d'ores et déjà [à reléguer bientôt l'Enfer du Devoir au rang de simple croques-en-jambe, lorsque le cyclone aura été mis en déroute] - deux rayons de s.o.l.e.i.l. : Rouen et Le Havre - la possibilité d'agréger assez de persona pour y transposer une logique toute policière ["protéger et servir" des enfants] : un sacerdoce qui ne souffre aucune poulperie parce que de menues âmes dans le tourbillon de la vie, c'est pas des histoires à la n.o.i.x...

IV - Demain est un a.u.t.r.e. jour, caisse de résonnance d'une attente siamoise bien plus édifiante mais, jusqu'à l'heure de décrocher le convoité sésame : la garder par devers soi, cette i.d.é.e. [au surplus, à germer à l'indicatif présent : penser à l'inauguration du Ministère des Transports - la seule ambition parfaitement parfaite. Le reste ? Bah... "Est-ce que ce monde est sérieux", demandait Cabrel ? La réponse est oui. La réponse est non]

V - A l'arrivée :
- I.n.t.r.o.d.u.c.t.i.o.n. : Il faut être sur le ring et, tout en presqu'bouffant le protège-dents à force de les serrer - dévier les coups au corps, se protéger d'un KO technique et, bille en tête, avancer
- T.h.è.s.e. : définitivement, le travail, étymologiquement - une torture montée sur trépieds
- A.n.t.i.t.h.è.s.e. : Aussi aliénant puisse-t-il être - le travail affranchit [paradoxe bien timbré]
- S.y.n.t.h.è.s.e. : L'épreuve ? Une anti-chambre toute propédeutique - une affaire de résistance
- C.o.n.c.l.u.s.i.o.n.-ouverture : Si "une petite impatience ruine un grand projet", en contrepoint - "Tout vient à point à qui sait attendre".

VI - Epilogue : parce qu'il suffit de purifier ses mobiles d'action par une exacte balance entre p.o.u.r.q.u.o.i. et c.o.m.m.e.n.t. - la fin, heureuse, est déjà gravée - Ulysse en son Odyssée a bien supporté pire :



I am a man of constant sorrow,
I've seen trouble all my days.
I bid farewell to ole Kentucky,
The place where I was born and raised.

[The place where he was born and raised !]

For six long years,
I've been in trouble.
no pleasure here,
on earth I've found.

For in this world,
I'm bound to ramble,
I have no friends to help me out.

[He has no friends to help him out !]

It's fare thee well,
my old true lover,
I never expected to see you again.

For I'm bound to ride,
that Northern Railroad,
Perhaps I'll die upon this train.

[Perhaps he'll die upon this train !]

You can bury me in Sunny Valley,
For many years, there I may lay.
And you may learn to love another
while I am sleeping in my grave

[While he is sleeping in his grave !]

Maybe your friends think I'm just a stranger,
My face you never will see no more.
But, there is one promise that is given,
I'll meet you on God's golden shore.

[He'll meet you on God's golden shore]















[Quand même...
Putain de Christ,
mais c'était quoi,
son secret,
à
Lui ???]



6 commentaires:

Anonyme a dit…

dis donc !? reste poli, bordel deum !
t'en foutrais moi, des p'tits soucis de contingences…
on en reparlera quand t'auras porté une croix en olivier… p'tain ça pèse un dromadaire mort c'truc !

H.e.l.l.h.e.a.v.e.n. Incorporated a dit…

I - C'est toi, Papa ?
II - [Allez, rengracie, tu sais comme chuis]
III - C'est un peu la croix [wè, celle-là] et la bannière [http://www.youtube.com/watch?v=MjHdBDnHEeU] en ce moment, pour que tu me ménages un créneau
IV - Et va pas me dire que t'es overbooké : quand tu veux, tu sais très bien déléguer
V - Je fais pas les dromadaire : j'ai dèjà assez à faire avec mon chameau
VI - Tu m'aiderais pas, des fois, à trouver mon "chemin de Damas", des fois ?

Anonyme a dit…

li chemin di Damas ?
chais pli trop, mais ji di très beau tissux de là-bas que j'ti li fait pas cher, mon fils !
pis laisse trônquille le p'ti Jimmy, ti veux ?
il joue pour moi en c'moment, faut pas li déranger…
pour le reste, passe à la maison de temps en temps, ta mânmân s'inquiète… elle t'a fait li couscous-boulette pour ce soir.

H.e.l.l.h.e.a.v.e.n. Incorporated a dit…

I - [Ouais, parce que j'aurais besoin d'un chouette b.o.u.b.o.u., aussi]
II - Les Jimmy, tout le monde en est f.o.l. : http://www.youtube.com/watch?v=wXx_enxwKYo
III - Tant mieux : parce que la traversée du Désert, c.l.a.r.o.q.u.e.s.i. - ça le donne une de ces tailles de guêpe !!!

Anonyme a dit…

tzu l'auras tzon boubou, tz'inquiètzes dzonc pô…
zappe not' RV d'bintôt et j'crois bin qu'on s'ra pleûsieurs à voulouâr tze tzailler un jeûli costzard !

H.e.l.l.h.e.a.v.e.n. Incorporated a dit…

[J'avais p.a.r.f.a.i.t.e.m.e.n.t. compris la m.e.n.a.c.e. que d'aucuns font peser sur mon tailleur !!!]