Feed me with your kiss

[Trop de bordel - Bakounine à r.é.g.n.e.r. : pas moyen de s'y retrouver alors au fur & à mesure - r.a.n.g.e.r. : une figure de style i.m.p.o.s.é., à triompher par nécessité]



Des dossiers, des livres, des papiers : t.r.i.e.r.
Des allers retours, plusieurs voyages : poubelle - il faut savoir se s.é.p.a.r.e.r.
Concerts, expositions, ciné - des tickets, jamais jetés : pour mémoire - c.o.n.s.e.r.v.é.s.
Par réflexe, à l'excès : mettre de côté tant de choses à agencer - des fois qu'elles pourraient servir à c.o.n.s.t.r.u.i.r.e. & i.m.a.g.i.n.e.r.
S'affairer, faire des paquets, rassembler le courrier.
Ca & là : des vestiges d'un tableau, aujourd'hui perdu pour une erreur, disons, de destination. Peut-être gardé, peut-être jeté. C.e.q.u.i.e.s.t.f.a.i.t.e.s.t.f.a.i.t.
Des CD : partout, tout le temps, p.a.r.f.a.i.t.e.m.e.n.t. installés, revendiquant toujours plus d'espace.
En trombe - passer à côté d'un carton. Dessus, posé : Tilman.
Ainsi qu'une pochette, à se distinguer. Parmi tous les CD qui squattaient & paressaient - un single sur lequel, stop : s'a.r.r.ê.t.e.r. Cette image... L'oeil, direct - v.a.m.p.é. :

C.e.ne.s.t.p.a.s.d.a.c.t.u.a.l.i.t.é. : un single édité en 1990.
Apprécié plus tard - sans doute lorsqu'il se disait déjà que Kevin, Colm, Debbie & Belinda venaient de s'enfermer dans un studio dont ils ne trouveraient jamais comment en sortir pour accoucher d'une suite à leur m.a.s.t.e.r.p.i.e.c.e.
En ouverture : quelque chose comme un v.e.r.t.i.g.e.

Une éducation musicale.
C.e.s.t.d.a.c.t.u.a.l.i.t.é.
Une é.d.u.c.a.t.i.o.n.
L'air du temps :

Lève-toi.
N'aie pas peur.
Ca me brûle.
Me toucher :
Je te laisserai faire.

Bientôt.
Tes yeux : bleus - des gemmes.
Aie confiance.
N'importe comment :
Tu sais pourquoi.

Debout.
Ne crains rien.
Je le veux.
Venir jusqu'à moi ?
Tu y parviendras.

Parce qu'il est également dans la religion des s.h.o.e.g.a.z.e.r.s. :

cet é.p.a.n.c.h.e.m.e.n.t. est dédié à un Ghettoblaster.