mercredi 20 février 2008

Ap.a.n.age








"[...] Enoncer ce secret insensé de l'homme que le point ultime de sa chute c'est son premier matin, que son soir s'achève sur sa plus jeune lumière, qu'en lui la fin est recommencement. "

Michel Foucault







Si p.r.é.v.e.n.a.n.t.e ["lorsqu'elle me voit triste elle étend sur ma tête ses mains pour me guérir"]...
Intéressement [normal : son m.é.t.i.e.r.] désinteressé [apaiser ce qu'elle ne pouvait à elle seule r.e.s.t.r.u.c.t.u.r.e.r.] et pourtant, elle n'était pas aisée son activité, tous les présents - d'une façon ou d'une autre, accidentés... Parfois, à son agenda : une bonne p.a.n.d.é.m.i.e. à diagnostiquer : et dire "chut" dans ce genre de cas, c'est pas assez [exemple, à côté, un voisin - à menacer d'imploser, la voix p.a.s.s.é.e. à force de chanter sa tête comme un p.u.i.s.a.r.d.]...
N'importe comment, elle était tout autour : un cercle parfait.
La regarder.
Sa silhouette qui se découpe, mouvante.
La r.e.g.a.r.d.e.r.
La voilà.
Là.
Juste .
Et pendant ce temps- - cette voix, à demander, s.y.s.t.é.m.i.q.u.e. :
[Après réflexion, jeu de c.o.n.s.t.r.u.c.t.i.o.n :]
- Claro que no. Ca me vient m.a.l. Mais comme dirait Zazie, "on ferait mieux de prendre la vie comme elle vient" ce qui donne à peu près ceci - lorsqu'elle apparait : la saluer d'un "Bonjour, Dame du Lac" mais les lèvres - s.c.e.l.l.é.e.s. La logorrhée complètement rétromixée. Et l'horloge - à d.e.r.v.i.s.h.e.t.o.u.r.n.e.r...








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