"Nous quittâmes les vestiaires tous les deux au même moment, à la sonnerie.
En ouvrant le battant de la porte d'une poussée, j'étais comme un câble à haute tension chargé d'adrénaline.
J'avais mastiqué un gros steak deux heures avant, pour en avaler le jus et rechacher la viande, et je sentais le sang d'animal dans ma sueur. Tout en sautillant sur la pointe des pieds, je me dirigeai vers mon coin en traversant la plus incroyable foule aux arènes que j'ai jamais vu à un combat de boxe.
Le gymnase était bourré plus qu'à craquer, et les spectateurs coincés comme sardines en boite sur des chaises en bois étroites et les gradins.
On aurait dit que chaque humain présent était en train de hurler ; des mains, le long de la travée centrale, tiraillaient mon peignoir, des bouches m'enjoignaient de tuer.
On avait enlevé les rings latéraux ; le ring central baignait dans un carré parfait de lumière jaune et brûlante. J'attrapai la corde du bas pour me hisser dessus."
En ouvrant le battant de la porte d'une poussée, j'étais comme un câble à haute tension chargé d'adrénaline.
J'avais mastiqué un gros steak deux heures avant, pour en avaler le jus et rechacher la viande, et je sentais le sang d'animal dans ma sueur. Tout en sautillant sur la pointe des pieds, je me dirigeai vers mon coin en traversant la plus incroyable foule aux arènes que j'ai jamais vu à un combat de boxe.
Le gymnase était bourré plus qu'à craquer, et les spectateurs coincés comme sardines en boite sur des chaises en bois étroites et les gradins.
On aurait dit que chaque humain présent était en train de hurler ; des mains, le long de la travée centrale, tiraillaient mon peignoir, des bouches m'enjoignaient de tuer.
On avait enlevé les rings latéraux ; le ring central baignait dans un carré parfait de lumière jaune et brûlante. J'attrapai la corde du bas pour me hisser dessus."
Dans le coin d.r.o.i.t. :
Un B.a.r.o.n.
à puiser dans ses réserves.
Le second - tout à ses a.s.s.o.u.p.l.i.s.s.e.m.e.n.t.s. :
en réserve de la République.
Match a.l.l.e.r.
Un B.a.r.o.n.
à puiser dans ses réserves.
Le second - tout à ses a.s.s.o.u.p.l.i.s.s.e.m.e.n.t.s. :
en réserve de la République.
Match a.l.l.e.r.
3 commentaires:
You are the sunshine of my life...
J'crois qu'y'a qu'ici qu'on peut voir le MEDEF associé à l'adjectif haletant...
Aïe, aïe, aïe...
Sinon, je crois que je m'y ferai jamais à ton blog, en plus d'être pas très joli, l'est d'un manque de pratique absolu...
Nous manquerait presque, l'ancien...
Bonne'
Pascale,
Toi-même ;-]
Valérie,
I - Selon toi, je suis fou :
* http://www.youtube.com/watch?v=Uz_bCyirfn8
* http://www.youtube.com/watch?v=g_KmHK1uNHA
II - [Et pire encore]
III - N'aie crainte. je n'objecterai rien. D'ailleurs, si tu es dans le vrai, ne t'en fais donc pas - cela ne peut que mal finir, pour moi :
* http://www.youtube.com/watch?v=OO2pEcbxcYY
* http://www.youtube.com/watch?v=0GDJXDGhae8
* http://www.youtube.com/watch?v=7F7RdeAYf5c
IV - [Ce qui m'amène à la conclusion s.u.i.v.a.n.t.e.]
V - "L'essentiel est invisible pour les yeux" : je constate que tu es a.v.e.u.g.l.e.
VI - F.i.n.
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